Gallimard-Jeunesse
Quebec, 13 mai 1915, dans l'infirmerie du camp de détention de Spirit Lake. Peter Gaganovitch agonise sur un lit de camp. Il n'a que quatorze ans. Comment en est-il arrivé là? Trois mois plus tôt, il débarquait au Canada... Comment un jeune garçon, interné au milieu d'un no man's land de glace, utilise miraculeusement ses qualités humaines, son imagination, et comprend que le bonheur se choisit chaque matin, au saut du lit, comme un vêtement. Un magnifique roman, une magistrale leçon de vie. |
Ce qu'en dit la presse
« C’est un récit poignant, qui met en avant un événement historique peu connu. Tour à tour, on a peur, on a pitié, on pleure, on se révolte. Un roman plein d’émotions, à découvrir. »
« Sélection adulte », Octobre 2008, Lettre des médiathèques N°23.
« Une magistrale leçon de vie pour adolescents. »
« C’est à lire », 30.04.08, Le Messager.
« Un récit intense, émouvant. Un héros courageux. Une belle leçon de vie où l’imaginaire et les liens affectifs sauvent de tout même du pire. On jongle tout au long du roman entre présent et passé proche, et le suspense est permanent. »
« Un livre par jour », 22.04.08, OPALivres.
« C'est un roman singulièrement admirable, une superbe leçon de vie, qui donne matière à s'apitoyer, trembler et s'émouvoir.»
Clarabel, « Spirit Lake », 11.04.08, Chez Clarabel.
« Avec L’Affaire du collège indien, Sylvie Brien s’était déjà penchée sur les dures réalités de l’histoire du Canada, aux pages pas toujours glorieuses. C’est un aspect de la Première Guerre Mondiale a priori ignoré en Europe qu’elle nous dévoile ici : des milliers d’immigrants austro-hongrois, allemands, italiens se sont subitement retrouvés du mauvais côté et internés dans des camps de travail aux conditions de vie difficiles. (…) Le procédé narratif du retour en arrière intermittent sur les trois mois à Spirit Lake permet d’entretenir le suspense, de même que l’évocation régulière de mystérieux événements fantastiques. (…) Une histoire d’amour malheureux, une résistance par la solidarité face à deux officiers corrompus, un ancestral chemin des esprits indien… apportent la touche dramatique qui font de Spirit Lake un beau roman personnel, écrit de la langue parfaite de l’auteur. Émotion garantie ! »
Sophie Pilaire, « Spirit Lake », 2008, Ricochet.
« Sélection adulte », Octobre 2008, Lettre des médiathèques N°23.
« Une magistrale leçon de vie pour adolescents. »
« C’est à lire », 30.04.08, Le Messager.
« Un récit intense, émouvant. Un héros courageux. Une belle leçon de vie où l’imaginaire et les liens affectifs sauvent de tout même du pire. On jongle tout au long du roman entre présent et passé proche, et le suspense est permanent. »
« Un livre par jour », 22.04.08, OPALivres.
« C'est un roman singulièrement admirable, une superbe leçon de vie, qui donne matière à s'apitoyer, trembler et s'émouvoir.»
Clarabel, « Spirit Lake », 11.04.08, Chez Clarabel.
« Avec L’Affaire du collège indien, Sylvie Brien s’était déjà penchée sur les dures réalités de l’histoire du Canada, aux pages pas toujours glorieuses. C’est un aspect de la Première Guerre Mondiale a priori ignoré en Europe qu’elle nous dévoile ici : des milliers d’immigrants austro-hongrois, allemands, italiens se sont subitement retrouvés du mauvais côté et internés dans des camps de travail aux conditions de vie difficiles. (…) Le procédé narratif du retour en arrière intermittent sur les trois mois à Spirit Lake permet d’entretenir le suspense, de même que l’évocation régulière de mystérieux événements fantastiques. (…) Une histoire d’amour malheureux, une résistance par la solidarité face à deux officiers corrompus, un ancestral chemin des esprits indien… apportent la touche dramatique qui font de Spirit Lake un beau roman personnel, écrit de la langue parfaite de l’auteur. Émotion garantie ! »
Sophie Pilaire, « Spirit Lake », 2008, Ricochet.