Les éditions Porte-bonheur (Contactez l'auteure)
Je me souviendrai toute ma vie de la peur que me causa l’image surréaliste, légèrement aplatie, de ce vaisseau qui fondait silencieusement sur moi à une vitesse fulgurante. Je crus mourir d’effroi. C’était un bateau très ancien à trois mâts, faisant au moins trente mètres de long. Des flammes brûlaient ses voiles et s’étendirent ensuite à ses deux ponts, puis à sa coque entière, le teintant d’un rouge sanglant. Comme le navire allait fondre sur moi pour m’engloutir, son image s’évanouit subitement devant mes yeux. Dans ce sixième épisode, Pierrot se retrouve encore une fois mêlé à une aventure teintée de fantastique et de surnaturel. Confronté à ce qui semble bien être l’apparition d’un inquiétant vaisseau fantôme, peuplé de spectres désespérés, il devra mettre à l’oeuvre toutes ses ressources pour le retrouver et avec l’aide de Jules, du Pays des Lumières, libérer l’âme de tous ces mécréants des mers. |
Ce qu'en dit la presse
« Il faut s’abandonner à la lecture de ce portrait d’époque original, tissé au fil des mots par une conteuse empathique qui sourit, sans doute avec raison, de disposer des bonnes couleurs et du ton juste pour nous faire partager son plaisir (…). Quant au Marie La Paix, c’est un vaisseau-fantôme, pure hallucination, qui tient le récit à flot jusqu’à son épilogue. »
Michel E. Clément, « L’énigme du Marie La Paix », Printemps-Été 2003, Lurelu, Vol. 28 N°1.
Michel E. Clément, « L’énigme du Marie La Paix », Printemps-Été 2003, Lurelu, Vol. 28 N°1.