Gallimard-Jeunesse
Québec, 1921. Quels terribles secrets abrite le sinistre pensionnat de Saint-Elme? Qui sont ces enfants qu'on y retient prisonniers? Quand un incendie criminel se déclare, Vipérine Maltais, la jeune collégienne détective, mène l'enquête tambour battant. Et tant pis s'il faut pour cela se faire quelques ennemis mortels. Qu'on se le dise : Vipérine n'a pas froid aux yeux! L’établissement, découvre-t-elle bientôt, abrite de jeunes Indiens scolarisés de force par le gouvernement. Ils sont nombreux à vouloir la fin du collège de Saint-Elme. Mais qui est le véritable incendiaire? L’assureur des bâtiments? Le pharmacien propriétaire des champs voisins? Le préfet des études? Ou ces coupables tout désignés que sont deux pensionnaires indiens, miraculeusement rescapés de l’incendie? Vipérine devra faire montre de sa sagacité et de son culot habituels pour dénouer les fils de cette intrigue. Une langue savoureuse, une atmosphère pleine de charme et une plongée passionnante dans le Québec des années 1920. |
Ce qu'en dit la presse
« Le style alerte et teinté d’humour de Sylvie Brien enchante. Elle sait glisser à petites doses des éléments de mystère et des notions d’histoire (dans ce cas, la scolarisation forcée de milliers de jeunes Amérindiens enfermés dans des pensionnats très loin de leurs familles) tout en multipliant les sous-intrigues capables de faire progresser l’enquête. »
Claude Daigneault, « Vipérine Maltais, une héroïne pour tous au cœur d’une tragédie de notre histoire », 17.05.2009, À Voix haute Vol. 2 N°8.
« Sylvie Brien sait ménager le suspense et attirer notre attention en situant l’action dans un collège canadien qui sert de banc d’essai pour instruire de jeunes Indiens arrachés à leurs parents sous prétexte de les civiliser chez les Blancs… Vipérine, toujours aussi vive et maline, nous entraîne sur ses pas et l’épilogue, bien construit, comme le reste du roman, nous satisfait pleinement. »
C. de Jamblinne, 05.04.06, La voix du Luxembourg.
« **** Première satisfaction, le roman est écrit dans un français parfait, bien que simple. Et non dans les approximations branchées fleurissant dans la littérature pour jeune public au prétexte de modernité. (…) Humour, mystère, suspense et forte identité constituent les ingrédients d’une série bien construite. »
Liliane Tibéri, 24.03.2006, Tribune Bulletin – Côte d’Azur.
« Après Mortels Noëls, la petite détective Vipérine revient plus en forme que jamais ! Toujours aussi futée, elle est plus sûre d’elle, de sa position au pensionnat et dans sa famille (elle est orpheline de mère). C’est elle la narratrice, et elle maîtrise le récit : le lecteur ne saura rien de ses déductions au cours de l’enquête ; ses observations nous sont livrées comme des faits. Vipérine garde les réponses pour la fin digne du meilleur Agatha Christie : sur une scène de théâtre, devant des adultes spectateurs ébahis, la jeune fille fait un exposé logique et clair du déroulement du drame. L’époque du début du siècle au Canada est toujours aussi bien mise en scène, avec une dénonciation d’un épisode peu glorieux : la scolarisation de force des enfants indiens dans des conditions déplorables, et ce jusque dans les années 1980. Ce deuxième opus, toujours d’excellente qualité, séduira sûrement les amateurs de Sherlock Holmes et autres Rouletabille ! »
Sophie Pilaire, « L’affaire du collège indien », 2006, Ricochet.
« S'ils rafraîchissent la mémoire, les ouvrages pour la jeunesse de Sylvie Brien sont loin d'être des romans à thèse lourds et ennuyeux. Il s'agit de véritables petits polars, construits dans les règles de l'art, ponctués de nombreuses pointes d'humour. De plus, si les faits historiques stimulent l'écrivaine, les phénomènes inexpliqués la fascinent tout autant. Il y a donc toujours un fantôme qui rôde, un esprit qui veille ou une apparition mystérieuse dans la trame de ses romans. »
Carole Tremblay, « Littérature jeunesse : le Québec des années 20 continue sa percée à Paris », 13.05.06, Le Devoir.
« ****1/2 Cet ouvrage ravira les esprits avides de suspense, car l’auteur parvient à l’attiser jusqu’au dénouement qui selon les règles de l’art est surprenant et inattendu. Une écriture fine et précise qui fait plonger le lecteur dès les premières lignes dans ce Québec de 1921 sans jamais l’ennuyer. Rien n’y est superflu et surtout le livre révèle un pan cruel et scandaleux de l’histoire du Canada. Une réussite ! »
18.06.06, Déjà Grand.
Claude Daigneault, « Vipérine Maltais, une héroïne pour tous au cœur d’une tragédie de notre histoire », 17.05.2009, À Voix haute Vol. 2 N°8.
« Sylvie Brien sait ménager le suspense et attirer notre attention en situant l’action dans un collège canadien qui sert de banc d’essai pour instruire de jeunes Indiens arrachés à leurs parents sous prétexte de les civiliser chez les Blancs… Vipérine, toujours aussi vive et maline, nous entraîne sur ses pas et l’épilogue, bien construit, comme le reste du roman, nous satisfait pleinement. »
C. de Jamblinne, 05.04.06, La voix du Luxembourg.
« **** Première satisfaction, le roman est écrit dans un français parfait, bien que simple. Et non dans les approximations branchées fleurissant dans la littérature pour jeune public au prétexte de modernité. (…) Humour, mystère, suspense et forte identité constituent les ingrédients d’une série bien construite. »
Liliane Tibéri, 24.03.2006, Tribune Bulletin – Côte d’Azur.
« Après Mortels Noëls, la petite détective Vipérine revient plus en forme que jamais ! Toujours aussi futée, elle est plus sûre d’elle, de sa position au pensionnat et dans sa famille (elle est orpheline de mère). C’est elle la narratrice, et elle maîtrise le récit : le lecteur ne saura rien de ses déductions au cours de l’enquête ; ses observations nous sont livrées comme des faits. Vipérine garde les réponses pour la fin digne du meilleur Agatha Christie : sur une scène de théâtre, devant des adultes spectateurs ébahis, la jeune fille fait un exposé logique et clair du déroulement du drame. L’époque du début du siècle au Canada est toujours aussi bien mise en scène, avec une dénonciation d’un épisode peu glorieux : la scolarisation de force des enfants indiens dans des conditions déplorables, et ce jusque dans les années 1980. Ce deuxième opus, toujours d’excellente qualité, séduira sûrement les amateurs de Sherlock Holmes et autres Rouletabille ! »
Sophie Pilaire, « L’affaire du collège indien », 2006, Ricochet.
« S'ils rafraîchissent la mémoire, les ouvrages pour la jeunesse de Sylvie Brien sont loin d'être des romans à thèse lourds et ennuyeux. Il s'agit de véritables petits polars, construits dans les règles de l'art, ponctués de nombreuses pointes d'humour. De plus, si les faits historiques stimulent l'écrivaine, les phénomènes inexpliqués la fascinent tout autant. Il y a donc toujours un fantôme qui rôde, un esprit qui veille ou une apparition mystérieuse dans la trame de ses romans. »
Carole Tremblay, « Littérature jeunesse : le Québec des années 20 continue sa percée à Paris », 13.05.06, Le Devoir.
« ****1/2 Cet ouvrage ravira les esprits avides de suspense, car l’auteur parvient à l’attiser jusqu’au dénouement qui selon les règles de l’art est surprenant et inattendu. Une écriture fine et précise qui fait plonger le lecteur dès les premières lignes dans ce Québec de 1921 sans jamais l’ennuyer. Rien n’y est superflu et surtout le livre révèle un pan cruel et scandaleux de l’histoire du Canada. Une réussite ! »
18.06.06, Déjà Grand.