Gallimard-Jeunesse
Vipérine n'a décidément jamais le temps de s'ennuyer! La jeune détective et sa tante sont chargées cette fois-ci d'enquêter sur la mort mystérieuse d'un journaliste. Drôle de journaliste, d'ailleurs... Tous les témoins n'ont qu'un mot à la bouche: "Bien fait pour lui!" Pourquoi une telle haine? Pour élucider cette énigme, le tandem de choc va devoir se montrer perspicace en diable! |
Ce qu'en dit la presse
« Le style est simple et fluide, il y a du rythme, beaucoup d'humour, et un brin de féminisme. Le vocabulaire est riche, tout en restant très accessible et adapté au lectorat visé (11-12 ans). »
Gaël Zobda, « Les enquêtes de Vipérine Maltais : La voix du diable, de Sylvie Brien », 04.02.12, Les riches heures de Fantasia.
« Vivacité et humour sont les maîtres mots de ce polar sympathique où les héroïnes circulent en moto dans les rues de Québec et où comme chez Agatha Christie tout le monde se retrouve au dernier chapitre pour le dénouement. Facture classique mais efficace, héroïne gentiment féministe, une série à suivre avec plaisir. » Danielle Bertrand, « Les enquêtes de Vipérine Maltais : La voix du diable », 2010 Ricochet.
« C'est une série intelligente, avec du suspense, des personnages hauts en couleur et très attachants, un peu d'humour, beaucoup de répartie, les filles mouchent facilement les garçons trop insolents, la prise de conscience de l'injustice quant à l'éducation des demoiselles prend d'ailleurs de plus en plus de place, c'est très bien, et en même temps l'intrigue policière est présente, pas un temps mort, de l'action sympathique, la bonne sœur en side-car dans les rues de Québec, par exemple, c'est vraiment drôle ! »
Clarabel, « La voix du diable, Sylvie Brien », 20.01.10, Magazine Culture.
Gaël Zobda, « Les enquêtes de Vipérine Maltais : La voix du diable, de Sylvie Brien », 04.02.12, Les riches heures de Fantasia.
« Vivacité et humour sont les maîtres mots de ce polar sympathique où les héroïnes circulent en moto dans les rues de Québec et où comme chez Agatha Christie tout le monde se retrouve au dernier chapitre pour le dénouement. Facture classique mais efficace, héroïne gentiment féministe, une série à suivre avec plaisir. » Danielle Bertrand, « Les enquêtes de Vipérine Maltais : La voix du diable », 2010 Ricochet.
« C'est une série intelligente, avec du suspense, des personnages hauts en couleur et très attachants, un peu d'humour, beaucoup de répartie, les filles mouchent facilement les garçons trop insolents, la prise de conscience de l'injustice quant à l'éducation des demoiselles prend d'ailleurs de plus en plus de place, c'est très bien, et en même temps l'intrigue policière est présente, pas un temps mort, de l'action sympathique, la bonne sœur en side-car dans les rues de Québec, par exemple, c'est vraiment drôle ! »
Clarabel, « La voix du diable, Sylvie Brien », 20.01.10, Magazine Culture.