Bayard Canada
Antérieurement édité sous «Aziza la gavée» Le jour où Zahra est confiée à son oncle, sa vie devient un véritable enfer. Son quotidien n'est désormais plus que violences et humiliations. Captive de sa propre famille, elle est reléguée au rang d'esclave et dort avec les bêtes. Sa condition s'aggrave quand on décide de la marier. Zahra subit alors le rituel du gavage. Malgré son calvaire, la jeune Mauritanienne ne se résigne pas. Elle espère fuir sa misère pour être aimée et éduquée. Sur sa route, elle trouvera des soutiens inattendus. Y puisera-t-elle la force de se battre pour tracer sa voie? Réussira-t-elle à briser ses chaînes pour ne plus être victime? |
Ce qu'en dit la presse
« À mes yeux, la grande force du récit se trouve dans l’impact de son message ainsi que dans sa revendication. Sous la dénonciation des traitements ignobles que subissent ces femmes, il se cache une histoire d’espoir, une volonté d’éveiller les esprits engourdis de préjugés, le souci de voir les portes du savoir s’ouvrir pour les femmes partout dans le monde… un appel touchant à l’injustice. »
Rachel Graveline, « La voie de Zarah », un appel touchant à l’injustice, 01.11.16, Les rives littéraires
« J’ai découvert avec Aziza la culture de ce pays islamiste, qui n’est jamais nommé mais qu’on devine être la Mauritanie, où les esclaves sont considérés comme des animaux et où certaines femmes sont gavées brutalement, parfois jusqu’à la mort. (…) C’est vraiment captivant cette plongée dans un univers si éloigné du nôtre et la construction du roman est intéressante parce qu’on s’attache d’abord à l’héroïne qui voit cet univers de l’extérieur et qui n’en aperçoit que les bons côtés. C’est d’autant plus cruel lorsqu’elle en découvre l’envers de la médaille et l’identification au personnage fonctionne à merveille. (…) À conseiller donc ! »
Sophie Gagnon, « Aziza la gavée », 25.10.12, SophieLit
« Ce livre est comme la dégustation d'un Gelato rare et fin... On doit le déguster lentement et se laisser envahir par toutes les sensations que celui-ci nous fait vivre. Cet ouvrage est tout simplement un vrai chef-d’œuvre !!! » Frogzine, « Aziza la gavée, de Sylvie Brien, 07.04.12, Frogzine
Rachel Graveline, « La voie de Zarah », un appel touchant à l’injustice, 01.11.16, Les rives littéraires
« J’ai découvert avec Aziza la culture de ce pays islamiste, qui n’est jamais nommé mais qu’on devine être la Mauritanie, où les esclaves sont considérés comme des animaux et où certaines femmes sont gavées brutalement, parfois jusqu’à la mort. (…) C’est vraiment captivant cette plongée dans un univers si éloigné du nôtre et la construction du roman est intéressante parce qu’on s’attache d’abord à l’héroïne qui voit cet univers de l’extérieur et qui n’en aperçoit que les bons côtés. C’est d’autant plus cruel lorsqu’elle en découvre l’envers de la médaille et l’identification au personnage fonctionne à merveille. (…) À conseiller donc ! »
Sophie Gagnon, « Aziza la gavée », 25.10.12, SophieLit
« Ce livre est comme la dégustation d'un Gelato rare et fin... On doit le déguster lentement et se laisser envahir par toutes les sensations que celui-ci nous fait vivre. Cet ouvrage est tout simplement un vrai chef-d’œuvre !!! » Frogzine, « Aziza la gavée, de Sylvie Brien, 07.04.12, Frogzine