Dominique et compagnie
À la mort de son père, au début des années 60, Jérôme, 12 ans, est hébergé avec sa famille chez ses grands-parents. Il découvre avec surprise que le village qu’ils habitent est peuplé de personnages tous plus étranges les uns que les autres. Cela n’empêchera toutefois pas le jeune garçon de se faire de nouveaux amis, dont un « jeune » fantôme qui lui fera vivre d’incroyables aventures… |
Ce qu'en dit la presse
« La romancière Sylvie Brien a conquis le cœur de milliers de jeunes à travers la province avec son livre Aziza la gavée lors de sa sortie en 2011. Cette année, l’auteure de Pointe-aux-Trembles, plongera ses jeunes lecteurs dans une histoire mystérieuse et humoristique se déroulant au Québec des années 60 avec son ouvrage Jérôme et son fantôme publié voilà quelques jours. »
Samantha Velandia, « Sylvie Brien lance un nouveau roman pour ados », 23.11.15, Métro.
« Pas besoin de croire aux fantômes pour apprécier celui qui est dans ses pages. Il est si peu conventionnel et il devient à ce point indispensable qu’on souhaiterait que chaque enfant dispose du sien. »
Michel E. Clément, « Le spectre », Hiver 2003, Lurelu Vol. 25 N°3.
« Coup de cœur 2002 pour un roman simple, doux, sans tapage. Mais quel suspense ! (…) Un portrait on ne peut plus juste de la société québécoise du début des années 60 (…) Un coup de cœur pour un récit qui traite de la mort dans toute sa lourdeur et qui en allège le fardeau par le biais de l’humour (…) La force de ce roman ? Un sujet actuel dans un contexte d’autoritarisme et de rigueur où la façade cède finalement la place à l’amour et à la compréhension et où les personnages montrent en fin de récit leur nature profonde. »
Odette Morel, « Le spectre », Automne 2002, Lurelu Vol. 25 N°2.
Samantha Velandia, « Sylvie Brien lance un nouveau roman pour ados », 23.11.15, Métro.
« Pas besoin de croire aux fantômes pour apprécier celui qui est dans ses pages. Il est si peu conventionnel et il devient à ce point indispensable qu’on souhaiterait que chaque enfant dispose du sien. »
Michel E. Clément, « Le spectre », Hiver 2003, Lurelu Vol. 25 N°3.
« Coup de cœur 2002 pour un roman simple, doux, sans tapage. Mais quel suspense ! (…) Un portrait on ne peut plus juste de la société québécoise du début des années 60 (…) Un coup de cœur pour un récit qui traite de la mort dans toute sa lourdeur et qui en allège le fardeau par le biais de l’humour (…) La force de ce roman ? Un sujet actuel dans un contexte d’autoritarisme et de rigueur où la façade cède finalement la place à l’amour et à la compréhension et où les personnages montrent en fin de récit leur nature profonde. »
Odette Morel, « Le spectre », Automne 2002, Lurelu Vol. 25 N°2.