Gallimard Jeunesse
Panique au pensionnat ! En ce froid Noël 1920, la sœur économe a été attaquée dans son sommeil par un fantôme. Canular ? Hallucination ? Tentative d'assassinat ? L'élève Vipérine Maltais mène l'enquête, bien décidée à découvrir ce que chacun s'efforce de cacher. Mais attention, Vipérine : les Noëls sont parfois mortels à Montréal ! Une héroïne pleine de charme et de malice dans l'ambiance mystérieuse d'un pensionnat québécois. Suspense et humour garantis ! |
Ce qu'en dit la presse
«Beau récit raffiné, Les enquêtes de Vipérine Maltais, Mortels Noëls de Sylvie Brien (…) résulte de plusieurs contributions : auteure née au Québec et notaire de formation, illustrateur né en Italie, éditeur français, mœurs très XIXe, présentation et typographie originales. En quelques pages, le décor est planté : le temps des fêtes tel que vécu en 1920 dans un pensionnat de la ville de Québec. Un drame, inattendu dans ce lieu feutré et conformiste, force les religieuses à faire appel à la jeune et perspicace Vipérine. Elle n’a que treize ans, mais sa parenté avec la supérieure du couvent lui donne accès à des informations névralgiques. Il lui reste à mériter les confidences. L’intrigue est bien construite, les références au contexte de l’époque nombreuses et pertinentes, l’écriture précise et ferme. Prenant. »
Laurent Laplante, « Abondance aux extrêmes : Ou l’album ou le long récit », 17.02.2005, Nuit blanche n°98.
« Les enquêtes de la petite fille allumée permettent de mettre en scène une intéressante galerie de personnages, à commencer par la sœur économe elle-même, dont les répliques sont d’une justesse où l’on entend sans effort rrrouler les « r » sur un ton religieux qui masque une mesquinerie sous de faux dehors de charité chrétienne. »
Rémy Charest, « En terre canadienne », 06.02.2005, Le Soleil.
« L’originalité de cet ouvrage réside dans le portrait vivant et détaillé que fait l’auteure du Montréal des années 20. L’ambiance froide et austère d’un pensionnat du début du siècle est admirablement bien rendue. On fait aussi la rencontre de certains personnages incontournables de la vie urbaine de l’époque : le marchand de glace, la servante, le notaire et le docteur. L’écriture élégante (…) s’accorde tout à fait à l’époque qu’elle dépeint. »
Carole Tremblay, « Jours sombres du Temps des Fêtes », 19.12.2004, Le Devoir.
Laurent Laplante, « Abondance aux extrêmes : Ou l’album ou le long récit », 17.02.2005, Nuit blanche n°98.
« Les enquêtes de la petite fille allumée permettent de mettre en scène une intéressante galerie de personnages, à commencer par la sœur économe elle-même, dont les répliques sont d’une justesse où l’on entend sans effort rrrouler les « r » sur un ton religieux qui masque une mesquinerie sous de faux dehors de charité chrétienne. »
Rémy Charest, « En terre canadienne », 06.02.2005, Le Soleil.
« L’originalité de cet ouvrage réside dans le portrait vivant et détaillé que fait l’auteure du Montréal des années 20. L’ambiance froide et austère d’un pensionnat du début du siècle est admirablement bien rendue. On fait aussi la rencontre de certains personnages incontournables de la vie urbaine de l’époque : le marchand de glace, la servante, le notaire et le docteur. L’écriture élégante (…) s’accorde tout à fait à l’époque qu’elle dépeint. »
Carole Tremblay, « Jours sombres du Temps des Fêtes », 19.12.2004, Le Devoir.